jeudi 25 février 2016

Huis clos de Jean-Paul Sartre

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Après leurs morts, deux femmes et un homme se trouvent enfermés ensemble dans une chambre sans issue. Ils sont dans leurs « vies après la mort », ils ont abouti leurs au-delàs individuels. Les trois défunts récents ne se connaissaient pas pendant leur vie vivante à terre. Maintenant, après leur déces, ils doivent rester dans cette chambre pour l’éternité. 

Ils montrent des sentiments individuels de culpabilité et de colère. Ils se querellent, l’un avec l'autre, et ils ne s'entendent pas bien. Après avoir compris l’état désespéré de cette situation, c’est l’homme qui finalement prononce le texte avec cette expression connue : « Alors, c'est ça l'enfer. Je n'aurais jamais cru... Vous vous rappelez : le soufre, le bûcher, le gril... Ah ! quelle plaisanterie. Pas besoin de gril : l'enfer, c'est les Autres. »

C’est une pièce de théâtre très simple sur le thème de l’existentialisme qui est beaucoup plus compliqué (au moins pour moi !). La pièce de théâtre présente la même ambiance comme le livre « Les yeux sont faits » du même auteur. C’est une ambiance vieux jeu à laquelle je suis vraiment attaché ; des scènes en noir et blanc des années quarante et cinquante du dernier siècle. 

Après avoir lu cette petite pièce de théâtre, j’ai aussi regardé le film « Huis Clos » de Jacqueline Audry (il date de 1954 et il est disponible sur YouTube). J’aime regarder ces vieux films en noir et blanc de cette époque et j’aime surtout ces « combinaisons littéraire » du livre et film correspondant. Alors, j'ai passé un bon après-midi. 

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