***** |
Un livre amusant
avec un personnage principal sympathique qui souffre d’un vague mal de dos. Au
début, la douleur est encore supportable, mais bientôt le mal à dos commence à devenir
accablant. Les médecins font des examens mais ils ne trouvent rien. Alors la
cause du mal doit être psychosomatique !
Immédiatement après
ces examens médicaux, les ennuis se compliquent. D’abord, il y a des problèmes
au bureau et ensuite aussi à la maison. Bref, il perd son emploi et sa femme le
quitte, tandis que, physiquement, les choses s’aggravent de plus en plus. Malgré
toute cette misère, l’histoire est amusante et légère. C’est une lecture
agréable et je n’ai qu’une seule plainte ; la fin du livre.
Je trouve la fin
de cette histoire totalement décevante. Évidemment, on peut s’attendre à une
fin heureuse pour le mec, personne ne devrait pas être atteint d'une telle maladie
vague et douloureuse. Forcément, le protagoniste va trouver des solutions d'une
façon ou d'une autre pour se délivrer de ses ennuis. Mais le moyen de lequel tous ses problèmes
sont résolus, c’est peu crédible et ennuyeux. L’auteur a fait pour ainsi
dire un deus ex machina pour résoudre toutes les difficultés. Tout à coup, le
protagoniste trouve un nouveau travail, soudain, mystiquement, il a de l’argent
pour investir, bien que quelques jours plus tôt il ait eu des grands soucis financiers
(il avait perdu son emploi quand même) ! Pour faire les choses même plus
ridicules, il rencontre une femme qui immédiatement devient sa nouvelle amante,
une amante « fantastique » malgré leur écart d'âge ; il est son
aîné de dix ans. C’est en effet le même écart d’âge qu’il reproche tellement
à sa fille qui vit ensemble avec un homme qui a aussi dix ans de plus qu’elle !
Après seulement
quelques pages, l’histoire d’abord attirante dégénère en un conte de fées pour
des adultes qui est totalement invraisemblable et risible. C’est vraiment dommage !
Alors, « je
vais mieux », c’est un bon livre amusant sauf ces derniers chapitres qui
ont gâché un peu la lecture pour moi.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire