***** |
Après leurs
morts, deux femmes et un homme se trouvent enfermés ensemble dans une chambre sans
issue. Ils sont dans leurs « vies après la mort », ils ont abouti leurs
au-delàs individuels. Les trois défunts récents ne se connaissaient pas pendant
leur vie vivante à terre. Maintenant, après leur déces, ils doivent rester dans
cette chambre pour l’éternité.
Ils montrent des sentiments individuels de culpabilité et de
colère. Ils se querellent, l’un avec l'autre, et ils ne s'entendent
pas bien. Après avoir compris l’état désespéré de cette situation, c’est l’homme
qui finalement prononce le texte avec cette expression connue : « Alors,
c'est ça l'enfer. Je n'aurais jamais cru... Vous vous rappelez : le soufre, le
bûcher, le gril... Ah ! quelle plaisanterie. Pas besoin de gril : l'enfer,
c'est les Autres. »
C’est une pièce
de théâtre très simple sur le thème de l’existentialisme qui est beaucoup plus compliqué
(au moins pour moi !). La pièce de théâtre présente la même ambiance comme
le livre « Les yeux sont faits » du même auteur. C’est une ambiance vieux
jeu à laquelle je suis vraiment attaché ; des scènes en noir et blanc des
années quarante et cinquante du dernier siècle.
Après avoir lu cette petite
pièce de théâtre, j’ai aussi regardé le film « Huis Clos » de Jacqueline
Audry (il date de 1954 et il est disponible sur YouTube). J’aime regarder ces vieux
films en noir et blanc de cette époque et j’aime surtout ces « combinaisons
littéraire » du livre et film correspondant. Alors, j'ai passé un bon après-midi.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire