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Sous l’acacia de
l’Occident est le cinquième et dernier livre de la série sur la vie de Ramsès.
Le pharaon administre son pays et il fait la politique internationale avec les Hittites.
Tout comme dans le livre précédent que je n’ai pas aimé tellement. Mais j’ai
acheté les cinq livres à bon marché il y a deux ans donc j’ai dû les terminer.
Je l’ai écrit
déjà plus tôt, dans ma critique du quatrième livre, les caractères dans ces séries
sont minces comme du papier à cigarettes. Dans cet cinquième livre, chaque
caractère est encore une fois soit bon, soit mauvais, il n’y a pas des degrés.
C’est plutôt gênant ; on est pour Ramsès donc on est bon, belle, doué, fort
ou quelque chose d’autre positive ou on est contre Ramsès et donc totalement mauvais,
méchant et sans aucun talent. De plus, l’histoire n’offre aucun développement
de caractères ; ils n’apprennent rien en faisant les mêmes erreurs (sauf le
pharaon et ses amis, évidemment). Le style d’écriture est simple et le texte
est très accessible.
Je peux répéter le
texte de ma critique précédente, c’est une histoire prévisible de nouveau;
le grand pharaon devient même plus grand, les gens mauvais restent mauvais, mais,
finalement les miracles se sont finis un peu. Malheureusement, le lecteur
n’apprend pas quelque chose de nouveau sur la vie et la civilisation
pharaonique. La signification historique de cette œuvre, comme celle du
quatrième livre, est nulle pour moi.
Pour conclure, le
livre, j’ai dû le lire pour finir la série. Comme prévu, les caractères restent
superficiels, les événements ne sont pas captivants et n’attirent pas l'attention
du lecteur. Bien que j’aime le thème de la série, je crois que les premiers
trois livres sont les mieux et pour moi, ces trois, ils suffisent. On n’a pas vraiment
besoin de lire les derniers deux.
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